Par ma formation universitaire en Lettres modernes et par mes professions et responsabilités*, je peux intervenir sur de nombreux domaines, aussi bien techniques que théoriques.
* Documentaliste ; journaliste ; gestion de la chaîne d’édition d’une revue, de l’appel à textes à la publication ; etc.
Mon grand intérêt pour les mythologies, le folklore, les mécanismes sociaux et l’écologie me permettent également d’aborder ces sujets, ainsi que de plusieurs autres qu’il serait fastidieux d’énumérer ici. Si vous songez à un concept en particulier, écrivez-moi et j’aurai plaisir à vous répondre.
Afin de vous donner un aperçu plus imagés de ces thèmes, voici quelques exemples de thèmes sur lesquels je peux intervenir lors de tables rondes, à l’occasion de votre salon littéraire ou de votre manifestation culturelle, mais aussi lors d’interventions en médiathèque ou en milieu scolaire :
- L’inscription de lieux réels dans la fantasy urbaine
Mes récits se déroulent en France, dans des lieux que je connais : Paris, Laon, Toulouse, Valence… Je prends en compte aussi bien l’Histoire que les particularités géographiques, la toponymie ou encore les légendes locales.
- Personnages appartenant à des populations stigmatisées
Jabirah, l’héroïne de Cinq pas sous terre, est d’origine maghrébine et homosexuelle. Dans L’Aube de la Guerrière, on trouve une transposition du thème de la différence persécutée avec Helena, la nephilim.
De façon générale, j’aborde souvent dans mes nouvelles des personnages appartenant à deux mondes et qui ne sont chez eux dans aucun – exilés par leurs origines et leur nature même.
- Les femmes indépendantes
Il est possible de dériver sur la question de la permutabilité des principales figures masculines et féminines d’un récit, si l’on veut éviter de se centrer sur la figure de la femme et opter pour un thème plus général.
- La fantasy urbaine
Ce que je nomme le « contemporain occulte ». J’ai toujours présenté la volonté de re-mythifier notre univers quotidien comme l’une des raisons qui me font créer.
- Le retour aux sources : une manne pour l’inspiration et une clef pour l’originalité
Prendre comme idée de départ une vieille légende allemande ou fouiller l’étymologie du mot « diable » : ces démarches ont été approuvées et perçues comme instigatrices d’originalité par les chroniqueurs et par mes lecteurs (dont Jean Marigny).
- L’influence des jeux de rôle et du GN sur la création
En tant que rôliste et GNiste (participant à des jeux de rôle grandeur nature), j’ai expérimenté l’enrichissement que ces loisirs apportent à la création. Les sessions d’immersion nourrissent aussi bien l’imaginaire que l’intensité émotionnelle et rendent les descriptions comme la réalité « du terrain » bien plus vraisemblables.
- Les figures plus ou moins classiques du fantastique
(Vampires, Petit Peuple, dragons, fantômes, anges, démons et nephilims, esprits, golem…)
- L’inspiration puisée dans les mythologies et les légendes
(Nordique, grecque, celtique, vaudoue, inuite, japonaise…)
Vous pouvez consulter les résumés des tables rondes auxquelles j’ai participé par le passé sur le page dédiée (cliquer ici pour y accéder).