Le diptyque Clamatlice
Éditions Voy'[el] – paru en juin 2013
Clamatlice, un monde bien loin de notre Terre, surprend les voyageurs par ses plages de sable vert, ses deux lunes, sa végétation singulière et son surnom : la Planète aux Mille Pensées. Les premiers colons évoquent parfois, à mi-voix, des créatures gigantesques et une nature guidée par une forme de conscience. Bien entendu, les nouveaux arrivés – tel Noota, un jeune surfeur – ne croient pas à ces superstitions…
Jusqu’à ce que Clamatlice murmure à leur esprit.
Ce recueil d’une trentaine de pages a ouvert la collection e-courts des éditions Voy'[el]. Il propose deux nouvelles : Les Vagues de Clamatlice, récit éponyme, et Saison de pluie sur Clamatlice. Ces textes diffèrent du ton habituellement punchy des romans de Vanessa Terral en laissant place à une ambiance poétique et à la sagesse d’une planète qui constitue le véritable personnage principal de ce diptyque.
Ce recueil n’est actuellement plus disponible.
De mai 2015 à l’épuisement de la première édition, le diptyque de Clamatlice a été également disponible au format papier grâce à l’anthologie Sur les ailes de l’Imaginaire, toujours aux éditions Voy'[el].

Noota, des « Vagues de Clamatlice », vu par Terryjil

L’une des péripéties de Noota vue par Terryjil

Noota surfe sur les vagues de Clamatlice… Illustration de Terryjil

Luccine, de « Saison de pluie sur Clamatlice », vue par Aurélya – cliquer sur le dessin pour accéder à sa galerie

Luccine et Eshün, de « Saison de pluie sur Clamatlice », vus par Terryjil
Chroniques de blogs littéraires
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Lu en moins d’une heure, ce court recueil numérique réunit deux nouvelles se situant dans le même univers, et il m’a offert une parenthèse bienheureuse et apaisante au sein d’une journée fort chargée. Promesse tenue pour ce micro-recueil qui annonçait d’emblée son exotisme et son caractère optimiste. On ressort serein de cette lecture, bienheureux et reposé. Pour autant, aucune naïveté à craindre : au contraire, c’est subtilement dosé, sans tomber dans la mièvrerie. La sérénité de cette lecture tient autant aux histoires racontées qu’au style de l’auteur, ici fin, léger, optimiste et coloré.
Les Vagues de Clamatlice est un micro-recueil où poésie et sagesse ne font qu’un, où l’humain et l’animal se côtoient sans qu’on nous assène de morale toute faite. Si vous êtes à la recherche d’une SF optimiste mais pas naïve, car dotée d’un fond philosophique fort mais jamais moralisateur, alors n’hésitez pas et embarquez pour Clamatlice !
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Les Carnets d’une livropathe
Ce sont donc deux textes de planet opera qui inaugurent la collection e-court. Pour ceux qui ne sauraient pas de quoi il s’agit, le planet op est un sous-genre de la science-fiction dans lequel l’auteur nous emmène à la découverte d’une planète via le regard et l’expérience de personnages qui l’explorent. Clamatlice, la planète aux mille pensées, ne nous est pas entièrement dévoilée pour autant. Il s’agit de nouvelles, après tout, et elles sont plus axées sur la quête identitaire de leurs personnages ; même si celle-ci est, plus qu’ailleurs, liée à leur environnement et à la découverte de celui-ci, de ce qui, en lui, leur ressemble.
Sur Clamatlice, votre nature pourrait vous apparaître d’une bien étrange façon… Je ne vous dévoilerai pas le principe, mais il m’a vraiment plu, d’autant qu’il est traité avec sensibilité et poésie. Si le style de l’auteur est toujours aussi plaisant que ce à quoi elle nous a habitués, sa façon de raconter s’adapte néanmoins aux événements.
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Le Livre Monde
Deux nouvelles à l’ambiance très fortement inspirées à la fois de l’animisme japonais et du principe chamanique de l’Animal de Pouvoir, mais aussi, de manière sans doute plus inconsciente, des mythes de monstres marins issus des cultures méditerranéennes.
Vanessa propose un univers très contemplatif, qui ne se contente pas d’emprunter au Japon ses concepts spirituels. Le cœur de la planète bat au rythme desdits concepts, véritablement vivante et expressive. L’humain y trouve une place en harmonie avec son environnement, et je ne m’avancerais pas trop en disant qu’il y a là sans doute une part des idéaux de sa créatrice. La technologie trouve sa place, au même titre que l’onirisme, la poésie et les forces naturelles. Malgré des humains parfois très cruels, comme on en rencontre dans la seconde nouvelle, il y a quelque chose d’assez utopique dans cet univers balbutiant.
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Les Histoires de Lullaby
R.arement des textes m’auront laissée avec une telle sensation de sérénité, de luminosité. Le monde de Clamatlice a ceci de séduisant, d’apaisant, que chacun y trouve sa place. Que ce soit Noota ou Luccine, chacun, malgré ses blessures ou sa perte de confiance, se voit accueilli à bras ouverts par la Planète aux Mille Pensées.
Il ne faudrait pourtant pas s’imaginer qu’il s’agit là de récits pour enfants ou empreints de cette naïveté que portent parfois certains textes du genre. Non, nous ne sommes pas du tout dans ces cas-là ! Vanessa Terral distille avec justesse cette lumière qui atteint ses personnages, elle construit l’ambiance de cette planète sans aucune once de mièvrerie – les animaux totems n’y sont pas tous de doux Bisounours, loin de là !
Pour ma part, ces deux nouvelles m’ont énormément plu. J’ai refermé les pages virtuelles avec un léger sourire au lèvres, l’âme réchauffée à la lueur de ces histoires.
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Quelques autres chroniques :
– Les Découvertes de Dawn
– Onirik
– Autour du livre
– Dzahell
– Imaginaires Récifs
– Chocolatine et Cuberdon
– Amazon
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Sur une planète vivante et fascinante, Clamatlice, Vanessa nous invite à partager 2 histoires celle d’un adolescent et celle d’une enfant face à leur peur, leur souffrance, à la dure réalité de la vie, à leur doute et leur incompréhension vis-à-vis des autres et d’eux-mêmes, viennent à leur secours des animaux totems, qui leur font découvrir qui ils sont, qui les aident à s’accepter tel qu’ils sont.
Les sentiments des personnages sont comme toujours chez Vanessa TERRAL décrits avec justesse, à l’état brut, on s’y retrouve, on les prend pour soi, on les vit.
Des histoires pleines d’espoir, d’amitiés, d’entraide, de courage. Un monde poétique où les humains reprennent leur place au milieu de la nature et des animaux. Un monde où j’espère me perdre encore de nombreuses fois grâce à de nouvelles histoires. On ressort de ces lectures plein de vitalité et d’envie d’aller de l’avant.
Alors que ceux qui ont la chance de savoir tisser les idées et les mots, prennent leur plume, libèrent leur imagination et qu’ils fassent pulser le cœur de Clamatlice et… Le nôtre.
Merci de tout cœur, Patricia, d’avoir pris le temps d’écrire ce mot et d’avoir autant apprécié ces deux aventures sur les terres et la mer de Clamatlice. Je suis touchée par l’appréhension profonde que vous avez de ces histoires et par votre empathie avec Noota et Luccine – et ravie qu’ils aient insufflé en vous cet élan que vous décrivez. 🙂
J’espère, d’ici quelques mois, parvenir à écrire un nouveau petit texte se déroulant sur Clamatlice. Et j’espère tout autant qu’il saura vous plaire et égaler ses grands frères!
Encore merci pour ce très bel avis… ❤
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