« Les Vagues de Clamatlice » gratuit le 18 décembre!

Parce que vous le valez bien, la collection E-Courts a concocté rien que pour vous une opération « spécial Noël » !  😀

 

Durant la dernière semaine avant le réveillon, une nouvelle gratuite sera proposée chaque jour. Eh oui, tous les jours vous aurez accès à un petit cadeau, comme un calendrier de l’Avent de dernière minute – ou de dernière semaine!  😉
Le lendemain, bien entendu, la nouvelle retrouvera son prix de vente à 0,99€, aussi veillez à ne pas manque le coche!

Au programme, nous commencerons avec Les Vagues de Clamatlice, en réalité un recueil de ma plume présentant de deux nouvelles qui se déroulent sur la planète éponyme. Des textes de planet opera pour une ambiance douce et paisible, parvenant à lier la poésie du verbe à une histoire prenante.
Et ce n’est pas moi qui le dis! La preuve sur la page dédiée au recueil, en cliquant ici.  ^_^

Voici donc le planning:

  • Les Vagues de Clamatlice : 18 décembre
  • Rémiges de cendre : 19 décembre
  • Un sacré coup de pouce : 20 décembre
  • Pour l’honneur des Mérina : 21 décembre
  • Au service des Insectes : 22 décembre
  • Le Triomphe de l’Impératrice : 23 décembre
  • Une octave de réalité : les 24 et 25 décembre (parce qu’on a toujours d’autres choses en tête, ces jours-là…)

Rendez-vous dès ce jeudi 18 pour découvrir le premier cadeau des éditions Voy'[el], sur la librairie Immatériel et consorts!

 

Concours pour la collection E-courts

Bonjour à vous!
J’ai été un peu absente ces derniers temps, m’occupant davantage de mon activité de praticienne énergétique et chamanique (si ça vous intéresse, le site est visible ici). Mais me revoilà avec quelques bonnes nouvelles, que je vous révèlerai au compte-gouttes ces prochains jours!  😉

Tout d’abord, pour fêter la première année de la collection E-courts, les éditions Voy'[el] vous proposent de gagner :

  1. l’intégrale de la collection
  2. 3 titres de votre choix
  3. 2 titres de votre choix

Le concours se passe sur Facebook et est ouvert jusqu’au 20 juillet. Vous pouvez cliquer ici pour y accéder, ou directement sur l’image ci-dessous.  🙂

 

 

Vous remarquerez que la couverture des Vagues de Clamatlice a été modifiée à cette occasion, cela afin d’apporter une unité graphique à la collection.

Bonne chance aux participant(e)s !  ^__^

 

Une petite pensée pour… « Clamatlice » bis

Il y a un mois environ, je postais un article dans la catégorie « Une petite pensée pour… » dédié à Clamatlice. Vous pouvez le (re)lire en cliquant ici, si vous le souhaitez.  Pourquoi est-ce que je reviens dessus, alors qu’il me reste tant d’autres nouvelles à vous faire découvrir? Eh bien, parce que ce mois écoulé illustre avec beaucoup de justesse et d’à-propos les hauts et les bas que peut connaître un auteur.

Suite à une déception, je finissais le billet par un quasi « Jamais plus ». En tout cas, la conclusion avait de forts accents d’amertume et de souffrance.
Puis il y a eu les dessins de Terryjil, une amie de l’ « ancien temps » toujours présente dans le nouveau. Il y a eu les messages de soutien de plusieurs lecteurs, via Internet ou face à face, lors de salons. Et surtout, il y a eu Lullaby.

 

Les illustrations de Terryjil,
qui sont venues embellir la page consacrée aux Vagues de Clamatlice

vagues_clamatlice_noota

vagues_clamatlice_murene

vagues_clamatlice_noota_surfe

pluie_clamatlice

 

Lullaby, Magali de son prénom, est passée un dimanche après-midi au salon Zone franche, à Bagneux. Elle n’a pas pu rester longtemps car elle faisait l’aller-retour dans la journée. Malgré les centaines de kilomètres qui nous séparent et le fait qu’on ne se voient vraiment pas souvent (on s’est connues sur Internet et on échange surtout par ce biais), je l’apprécie beaucoup et j’aurais tendance à avoir foi dans ses avis.

Lorsqu’elle s’est arrêtée au stand du Chat noir, elle m’a très vite dit qu’elle avait lu le recueil en une soirée, voilà quelques jours à peine. Puis elle m’a dit qu’elle l’avait beaucoup aimé et tout ce que Clamatlice lui avait apporté. Ses propos exacts resteront entre nous (nan mais, bande de petits voyeurs! 😛 ), toutefois je peux vous assurer que ce qui rayonnait d’elle avait une telle force, une telle émotion que cela m’a profondément marquée. C’était comme si sa lumière venait guérir les mauvais coups pris en février, les effacer d’un souffle.
Je me sens désormais plus sereine vis-à-vis de Clamatlice. Lullaby m’a aidée à me rappeler à quel point chaque lecteur/trice est un individu unique et complexe, à quel point ses émotions et sa sensibilité sont importantes et vibrantes et peuvent me toucher et me guérir à travers un témoignage qui arrive au bon moment, avec l’intensité adéquate.

Hier, Lullaby a mis en ligne son avis sur Clamatlice (si vous souhaitez le lire, c’est par ici). Sa chronique, comme de nombreuses chroniques (en particulier celles de personnes avec lesquelles je peux échanger, que ce soit essentiellement par Internet comme Strega des Carnets de lecture d’une livropathe, ou par Internet et grâce à des salons littéraires), m’a beaucoup touchée, m’a rassurée (les auteurs sont de grands anxieux, c’est bien connu) et a nourri le « feu sacré » de mon écriture (ouais, shônen powa!  XD  ). Néanmoins, ce qui restera longtemps, très longtemps dans mon esprit, c’est l’image de Magali penchée sur moi alors que j’étais assise, toute cabossée derrière le stand, de ses yeux brillants et de son large sourire, un petit air de lutin accroché au visage, tandis qu’elle me parle de Clamatlice. Et l’émotion si chaude qu’elle portait en elle à ce moment-là.
Merci Magali.  🙂

 

Une petite pensée pour… « Les Vagues de Clamatlice »

« Une petite pensée pour… » qui s’est faite attendre. J’ai sauté celle de la semaine dernière, celle d’aujourd’hui a pris quatre jours de retard… Pour me faire pardonner (j’espère), je parlerai cette fois-ci non pas d’une nouvelle, mais de deux!
Les Vagues de Clamatlice est un recueil réunissant la nouvelle éponyme et une seconde se déroulant dans le même univers: Saison de pluie sur Clamatlice. Les histoires prennent place – comme vous vous en doutez – sur une planète s’appelant « Clamatlice ». Petite présentation…

 

couverture-clamatlice

Pour accéder à une librairie numérique, cliquer sur l’image

Clamatlice, un monde bien loin de notre Terre, surprend les voyageurs par ses plages de sable vert, ses deux lunes, sa végétation singulière et son surnom : la Planète aux Mille Pensées. Les premiers colons évoquent parfois, à mi-voix, des créatures gigantesques et une nature guidée par une forme de conscience. Bien entendu, les nouveaux arrivés – tel Noota, un jeune surfeur – ne croient pas à ces superstitions…
Jusqu’à ce que Clamatlice murmure à leur esprit.

Il s’agit de planet opera. J’ai découvert ce sous-genre de la SF justement en publiant ces nouvelles, grâce à Aude Bourdeau, directrice de la collection E-courts aux éditions Voy'[el]. Jusque-là, je pensais que Les Vagues appartenait au space opera.  ^^;
Mais bon, laissons là ces considérations techniques qui, finalement, n’ont pas vraiment d’importance pour qui veut apprécier ces histoires.  🙂

 

J’ai écrit Les Vagues de Clamatlice pour illustrer le type de récits que je recherchais pour Éveil. Il s’agit de l’une des deux collections de l’association Transition, que j’ai fondée. Il m’a toujours été difficile d’expliquer ce que j’attendais comme ambiance et je m’étais dit qu’une nouvelle serait plus parlante. Déjà à l’époque, j’avais ouvert le monde à la co-création. Ce parti-pris a été conservé: comme vous pouvez le lire à la fin du recueil, les auteurs et les illustrateurs qui souhaiteraient créer dans cet univers le peuvent. Pour les auteurs, d’ailleurs, les éditions Voy'[el] regarderont leurs soumissions avec beaucoup d’intérêt – et moi aussi!  😉

La Planète aux Mille Pensées est née de ma tendresse pour les mangas Aqua et Aria, mais aussi de ma fascination pour les œuvres de Hayao Miyazaki. J’ai en tête des films comme Laputa, Nausicaä de la vallée du Vent (que j’ai vu en cassette piratée lorsque j’étais ado, il y a une quinzaine d’années). J’ai découvert Ponyo sur la falaise il y a quelques semaines, grâce à Arte il me semble: toute la partie post-inondation, avec l’eau claire, d’une limpidité bénie, qui recouvre les routes, avec des créatures aquatiques revenues des temps anciens… Cette ambiance étrange, d’un jour nouveau, où les humains arrêtent leur train-train quotidien pour s’entraider et s’adaptant merveilleusement vite et bien à la nature pourtant transfigurée, voilà une émotion qui m’a guidée lorsque Clamatlice est née en moi, lorsque j’ai créé les histoires s’y déroulant.

Saison de pluie sur Clamatlice a été une histoire de commande. Pourtant, on m’a dit plusieurs fois qu’elle était la plus touchante des deux. D’un autre côté, je l’ai écrite comme ça. Aude m’avait annoncé qu’il manquait quelques centaines de signes pour correspondre aux gabarits de la collection et m’avait proposé de rallonger Les Vagues. J’ai refusé: pour moi, la nouvelle était exactement comme elle devait être et je ne voulais pas diluer le goût de la soupe en rajoutant de l’eau dedans, parce qu’un convive supplémentaire se présentait. J’ai préféré cuisiner un dessert!  =^.^=

Sans entrer dans les détails, disons que plusieurs éléments de Saison de pluie sont tirés de mon histoire personnelle. D’habitude, j’évite: je ne suis pas là pour raconter ma vie. Mais ici, pour le temps de ce tout petit récit, je me suis autorisée à soulever un coin du drap qui protège ma vie privée. Je crois que c’est ce qu’ont senti les personnes qui sont entrées en résonance avec la petite Luccine. C’était l’occasion: une mini-histoire à la fin d’un diptyque, juste une gourmandise en fin de parcours, et l’univers de Clamatlice se prête magnifiquement bien à ce genre de récit – je le sais par les influences, les germes qui lui ont donné naissance.

 

Illustration d'Aurélya – cliquer sur le dessin pour accéder à son DA

Luccine par Aurélya – cliquer sur le dessin pour accéder à son DA


 

Cependant, début février, une mauvaise expérience est venue se lier à ce petit recueil dont je suis si fière. En fait, j’ai reçu le compte-rendu des ventes et j’ai découvert que seuls 28 exemplaires ont été vendus en huit mois. Si on enlève les proches, on tombe à 23, peut-être 25 exemplaires. Je dois dire que ça m’a mis un coup au moral. Je me suis demandé pourquoi y avait-il eu si peu de ventes, surtout que les quelques chroniques sont bonnes – même très, très bonnes. Est-ce parce qu’il s’agit de la première publication de la collection, parce que la couverture n’est pas « parlante »? A-t-il été noyé sous les publications de la collection Micro Walrus, qui a débuté un mois et demi avant et a su davantage occuper la scène webienne, pour un principe similaire – d’où possible confusion?
Dans ces moments-là, on se demande pourquoi se donner autant de mal, pourquoi continuer à faire des SP, proposer des personnes pour que la maison leur en envoie – et les blogueuses ont gentiment écrit un article, très vite même, et je leur suis reconnaissante de s’être pressées et d’avoir autant aimé le recueil, d’avoir partagé –, bref, pourquoi ces efforts (les miens comme ceux des autres), peaufiner un texte que les lecteurs trouvent bon, en écrire un second, partager sur FB et Twitter, pourquoi se donner tout ce mal pour 3 achats par mois? Et le prix du recueil n’est pas dissuasif – pas à 0,99€.
Je sais que je ne devrais pas parler de ça, parce que ça ne se dit pas. Mais c’est une réalité, de ce côté-ci de la plume: le découragement. Pendant plusieurs jours, ces chiffres m’ont totalement démoralisée. Je partage une part d’émerveillement dans une des formes les plus pures que j’ai pu lui donner, avec ce recueil, pour si peu de personnes qui l’ont recueillie… J’ai communiqué dessus, beaucoup – et toutes les critiques sont bonnes! –, pour si peu d’échos.

En début d’année, je prévoyais écrire un nouveau récit se déroulant dans ce monde, une histoire inspirée par une chanson du SongBook n°4 de Cécile Corbel (une chanteuse dont je vous recommande les albums, surtout les SongBooks n°2 et 4). Après avoir reçu ce mail, je me suis dit « Plus jamais. » Le projet est devenu comme mort dans ma poitrine.
Aujourd’hui, je me surprends à repenser à cette histoire en écoutant la chanson. Je ne sais pas si elle se fera ou pas. Et de toute manière, si l’histoire naît, elle possèdera cette tache provoquée par le choc reçu lors de sa gestation.
La vie est la plus forte, certes, mais je suis triste à la pensée de cette histoire si douce qui a été frappée alors que je la portais, toute fragile, en moi.

 

 

En ce début 2014…

… Quelles sont mes perspectives, qu’est-ce que je m’apprête à écrire?

Tout d’abord, ma « pause écriture », durant laquelle je me suis permis d’écrire une romance pour mon propre plaisir avant tout, m’a fait beaucoup de bien et m’a remis certaines (bonnes) idées en place. Notamment concernant les raisons pour lesquelles j’écris, et les conditions dans lesquelles je veux écrire. Une sorte de ménage de printemps en hiver, un grand dépoussiérage des concepts et croyances parasites qui se sont ajoutés durant ces années.
Oui, c’est un peu pompeux, et rien ne dit que ça durera, mais bon.
C’est la faute à Holda!  😉

« Frau Holle », des frères Grimm

Or donc, je vais d’abord écrire les histoires dont j’ai déjà causé à des potentiels éditeurs et ensuite – voire en parallèle, soyons folle! –, je me lancerai dans la série bit-lit que j’ai commencée voilà quelques années avant de me rendre compte que je n’avais pas (encore) la méthode pour, et de me freiner toujours plus en me disant que j’avais moins de chances d’être publiée en proposant une série d’office. Mais elle me plaît, cette série, et en plus, on y retrouve Manu, le perso qui a tant plu dans le recueil Ainsi commence la Nuit. Enfin, ce n’est pas tout à fait elle, mais un « elle » réadapté pour un univers original. Puis je l’aime, je me suis aperçue en écrivant la romance (l’héroïne de celle-ci est un de ses « avatars ») que j’adorais vraiment ce personnage et qu’elle me manquait. Je veux la retrouver, na!  >__<

Mais ça, c’est du projet à long terme. Pour les court et moyen:
– écrire Nuits chthoniennes en 3 mois (ouais d’abord! J’y crois que je suis trop une warrior!) ;
– écrire une autre nouvelle dans le monde de Clamatlice (une chanson du dernier Songbook de Cécile Corbel, que j’écoutais en écrivant la novella, m’inspire beaucoup) ;
– peut-être me lancer dans le récit pour enfants: une histoire inventée à moitié pour un « conte à jouer » me tente bien. Je me dis que quitte à créer des histoires pour enfants que je trouve jolies (sinon, je ne les raconterais pas!  😛  ), autant essayer de les partager avec davantage de tiots cadets!

Et en ce qui concerne la démarche d’édition, trouver une maison pour la fameuse novella de romance, déjà!   ^__^

Dans un autre domaine, suite à une interrogation que je me suis posée, ainsi qu’à mes amis, sur Facebook, j’ai décidé d’utiliser différemment mon compte Twitter, de manière plus inspirée et « aérienne ». J’y partagerai toujours des annonces, mais aussi des mots qui n’ont rien à voir, dans « l’air du temps » pour moi…  🙂

Enfin, pour finir sur un mot (pas très envie de rester dans le passé ; envolons-nous vers l’avenir, que diable!) concernant le bilan 2013, j’avais un objectif en abordant l’ancienne année: que Wikipédia affiche ma page d’écrivaine – aussi parce que cela signifiait une deuxième œuvre publiée, ainsi que des chroniques dans au moins un média national (c’est chose faite grâce à l’émission Rêves et Cris, en particulier Sally Secardin, et à Jeu de Rôle Magazine avec Mathilde Przymenski).
Et donc, depuis quelques semaines, j’ai bien ma page Wikipédia! Youhouhou!  *\^__^/*

Allez, je la sens bien, cette année 2014. Peut-être pas niveau édition (il faut le temps aux récits d’être soumis, lus, validés et inscrits dans un planning éditorial, quand même!), mais niveau écriture, ça va carburer, wesh!

Le grand bond vers 2014!


 

« Clamatlice » : sortie numérique d’un planète opéra !

Aujourd’hui, les éditions Voy'[el] inaugurent une toute nouvelle collection : E-courts, dont la ligne est de proposer des textes courts au format numérique.

Et devinez qui a l’honneur d’ouvrir le bal…?   \*O*/

couverture-clamatlice
Il s’agit d’un diptyque (deux textes dans une œuvre) de planète opéra. Et là, on se demande tous (en tout cas, moi, je me suis posé la question la première fois que j’ai vu ce terme): qu’est-ce que le « planète opéra »?
« À la différence du space opera, genre de science-fiction qui relate des aventures se déroulant dans l’espace, le planet opera (littéralement, « opéra planétaire ») a pour décor une planète étrangère, aux caractéristiques déroutantes et mystérieuses, que les principaux personnages ont pour mission d’explorer et de découvrir sous tous ses aspects (faune, flore, ressources). »
(Merci Wikipédia! 😉 )

Petit topo:
Clamatlice, un monde bien loin de notre Terre, surprend les voyageurs par ses plages de sable vert, ses deux lunes, sa végétation singulière et son surnom : la Planète aux Mille Pensées. Les premiers colons évoquent parfois, à mi-voix, des créatures gigantesques et une nature guidée par une forme de conscience. Bien entendu, les nouveaux arrivés – tel Noota, un jeune surfeur – ne croient pas à ces superstitions…
Jusqu’à ce que Clamatlice murmure à leur esprit.

Et petit extrait :
« Une douzaine de voix reprirent les paroles prononcées par Inès. Le clan des Abysses se tenait en rond, chacun assis sur sa planche et les jambes dans l’eau, sous le regard opalescent de la Lune majeure. D’un éclat de sucre roux, la Lune mineure hésitait encore à sortir de l’édredon que formait l’horizon. Elle donnait faim à Noota – et à chaque personne qu’il avait osé questionner sur le sujet. Aucune n’avait su expliquer cela. Toutefois, ce mystère s’avérait en cet instant le cadet de ses soucis. Il se trouvait très loin de la côte, dont il percevait à peine la silhouette envahie de brume – l’effet lui donnait l’impression d’être myope tout à coup. Il aurait la force de rentrer, à moins que… »

Vous pouvez découvrir Les Vagues de Clamatlice, suivi de Saison de pluie sur Clamatlice, pour 0,99€ dans toutes les bonnes librairies numériques, y compris (et surtout) Immatériel!

PS: Pour celles et ceux qui n’ont pas de liseuse ou affiliés, le PDF sera disponible dès mercredi soir / jeudi matin. Vous pourrez ainsi télécharger et imprimer le recueil, directement chez vous (ou plus probablement au boulot…  😛  )!

Dans un mois, embarquez pour Clamatlice!

Enfin, l’annonce officielle est tombée!  😀
Dans un mois paraîtront deux nouvelles se déroulant sur le monde de Clamatlice, une planète bien loin de la nôtre où, paraît-il, les éléments ont une conscience et où chaque espèce est représentée par une gigantesque créature qui, parfois, s’intéresse à un humain…

La publication ouvrira, avec quelques autres récits, la collection E-courts. Il s’agit d’une collection 100% numérique que proposeront les éditions Voy'[el] – des textes courts (nouvelles, novellas et séries numériques) appartenant aux genres de l’Imaginaire. Je suis très heureuse et très fière de faire partie des éclaireurs E-courts, surtout en compagnie de Cindy Van Wilder!

Ces deux nouvelles seront vendues en tant que diptyque, dans un seul eLivre.
Je reviendrai très bientôt vers vous pour plus d’informations et, je l’espère, la couverture!   =^__^=

Page Facebook de la collection E-courts